"Il s’agit bien là d’une médecine « quantique » authentique, peut-être même de la seule médecine vraiment quantique disponible à l’heure actuelle, car elle travaille dans la cinquième dimension de notre univers qui est l’échelle spatio-temporelle et non dans l’espace-temps M4".
Marc Henry, Chercheur, Professeur émérite de chimie et de physique quantique
L’idée que la musique puisse soigner des maladies semble donc, quoiqu’en disent certains détracteurs, parfaitement saine et fondée sur le plan de la physique fondamentale. Il s’agit bien là d’une médecine « quantique » authentique, peut-être même de la seule médecine vraiment quantique disponible à l’heure actuelle, car elle travaille dans la cinquième dimension de notre univers, qui est l’échelle spatio-temporelle, et non dans l’espace-temps M4. Toutes les autres médecines « quantiques » travaillent soit avec des ondes de nature électromagnétique, soit avec des ondes totalement inconnues de la physique standard.
Pour ce qui concerne les ondes électromagnétiques, il est clair que tout passe par la structure quantique de l’eau. Les ondes agissent sur l’eau morphogénique, qui en retour modifie tout substrat organique mouillé par elle. Les appareils thérapeutiques peuvent donc être tout à fait efficaces, même si leurs constructeurs sont souvent parfaitement incapables de savoir ce qui se passe réellement et évoquent la plupart du temps des théories complètement loufoques pour justifier leurs pratiques. Ils feraient mieux de s’en tenir aux faits pour ne pas jeter un discrédit sur leur appareillage.
Il y a aussi ceux qui travaillent avec des ondes « subtiles » de nature inconnue et où seuls les résultats pratiques permettent de justifier ou de valider leur approche. Du moment que ces personnes ne proposent qu’un traitement de complément et non un traitement de substitution, il n’y a rien à redire, car en matière de santé, tout est bon à prendre, vu la complexité d’un corps humain.
Il découle aussi de ce bref survol que le corps et la voix humaine émettent aussi bien des ondes acoustiques, des ondes électromagnétiques que des ondes d’échelle. On peut ici bien sûr penser au son primordial « OM » ou « AUM » à partir duquel l’univers se serait structuré selon la tradition hindoue. Pour ce qui concerne plus particulièrement l’eau, on doit s’attendre à une différence entre une eau qui vibre au son de la parole ou du chant par opposition à une eau qui stagne dans le silence.
On remarquera aussi que des gouttes d’eau soumises à des ondes sonores intenses peuvent entrer en lévitation acoustique suite à la pression de radiation exercée par ces ondes (acoustophorèse). Il y a aussi la cymatique de Hans Jenny (1904-1972) qui est l’art de générer des formes extrêmement variées et complexes en transmettant les vibrations à des liquides variés (voir par exemple les travaux d’Alexander Lauterwasser).
La dernière étape consiste à se poser la question de l’effet de la musique, qui est une vibration sonore composée de multiples fréquences, sur l’eau liquide et aussi sur l’eau morphogénique.
Dernier point, comme nous sommes faits d’eau morphogénique, il doit être évident que chanter et travailler sa voix ne peut que contribuer au développement harmonieux de l’être humain, postulat de base de la psychophonie de Rudolf Steiner et Marie-Louise Aucher.
Marc HENRY - extrait tiré de l'ouvrage "Musique et physique quantique" (page 101) - Editions Narur'Eau Quant